Alors que l’équipe gabonaise flambe en ce début des éliminatoires du Mondial 2026, des faux supporters des Panthères auraient fondu dans la nature avec les 2 millions de FCFA appartenant à Alex Mouketou et à Sidney Obissa.  Selon des sources, deux femmes de ménage, employées de l’hôtel de Bongoville sont soupçonnées d’avoir soustrait ces 2 millions de FCFA. Mais rien n’est sûr. 

Alex Mouketou qui fait les beaux jours d’Aris Limassol, en première division chypriote et Sidney Obissa, qui joue en deuxième division belge, au club de Francs Borains, n’oubliera pas son séjour à l’hôtel de Bongoville. Ils ont subi un vol de 2 millions de FCFA. Rien ne pouvait présager un tel incident au regard de l’accueil qui est souvent réservé aux  joueurs qui arrivent dans cette enseigne. Toute la ville de Franceville est souvent ravie de l’arrivée de ses protégés. On se demande quelle mouche a piqué un ou plusieurs compatriotes pour qu’ils aillent voler 2 millions de FCFA à deux poulains de Thierry Mouyouma.
Les voleurs sont entrés dans les chambres sans effraction 

C’est le jour de la rencontre qui a vu le Gabon disposer du Kenya (2 buts à 1), au stade de la Rénovation de Franceville que les chambres des Panthères ont été passées au peigne fin par des personnes dont on ignore l'identité. Et les voleurs ont subtilisé les 2 millions de FCFA qui appartenaient à Alex Mouketou et Sidney Obissa. Joint au téléphone, un membre de la Fédération gabonaise de football a confirmé le vol.

Sans le moindre remord, sans se fier à la fièvre que les Panthères avaient fait monter à Franceville après leur succès renversant sur les Kenyans, les voleurs ont pénétré dans les chambres des joueurs à pas de velours, ont pris cet argent avant de fondre dans la nature. 

Tout le monde est abasourdi par cet incident car depuis que l’hôtel de Bongoville accueille les Panthères, il n’y a jamais eu une histoire de vol. Et c’est un hôtel bien sécurisé aux normes de la Confédération africaine de football (CAF).

On espère que les joueurs seront plus prudents pour ne plus laisser l’argent dans les chambres au moment où les comptes virtuels sont monnaie courante.

 

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